« TTT. Dieu, le créateur du ciel et de la terre. Un type hors pair qui a fignolé les moindres finitions. “C’est bien fait, on ne voit même pas le travail !” s’exclame Arletti, cette clown débonnaire, cabotine et attendrissante. Au cinquième jour, Dieu crée les chiens, les chats, les oiseaux (une idée en l’air). Et le sixième jour ? Dieu n’a pas pu s’arrêter là ! Qu’en est-il de l’homme ? Arletti ne retrouve pas la bonne feuille dans tout le ramassis qu’elle trimballe dans son cartable. La voilà sans papier, désarmée face au vide. Avec beaucoup de talent, Catherine Germain mène le clown plus loin qu’on ne l’a jamais fait. Un spectacle troublant et jubilatoire. Évidemment nécessaire. »
[Télérama, Thierry Voisin]
« Elle dit l’eau, la terre, les poissons et les chiens-chiens. Car Dieu créa aussi les chiens du voisin, les chiens assis, les chiens de traîneau. Nous, les humains, n’étions pas encore créés. Donc nous étions libres. “On s’en fout, on peut en profiter, on n’est pas encore créés.” Dans cette grande geste en liberté, Catherine Germain, clown sans faute, s’épanouit. “L’homme est sur terre comme une flamme sur l’eau.” Catherine Germain est cette flamme. Sa fragilité – notre fragilité –, elle la dit avec sa tendresse, avec son grand art de clown. Quelques mots, juste pour rire. »
[Le Monde, Catherine Bédarida]
« Un moment de poésie pour nous renvoyer à nos origines. »
[Témoignage chrétien, Jean-Pierre Han]
« Il n’est pas un spectateur qui ne sorte du 6e Jour exténué de rire. Catherine Germain est époustouflante de fine drôlerie et d’astuces gestuelles. Ange perdu, clown ou enfant ? Elle est tout cela, et son commentaire faussement ingénu de la création du monde est un morceau d’anthologie. »
[L’Humanité, Jean-Pierre Siméon]
« Au final, ce one-clown-show mémorable et irrésistible, porté par Catherine Germain survoltée, ne ménage aucun moment de répit : petits et grands, on y rit à gorge déployée ; on y ressent aussi comme une nostalgie, une émotion au moment de la quitter. »
[La Marseillaise, Denis Bonneville]