« Pèlerinage pop. Sommets d’élégance, manière sobre et touchante, chanson tactile ; depuis sa maison perdue face au mont Ventoux. »
[Abigaïl Aïnouz]
Les Inrockuptibles
« Inspiration majeure de la pop actuelle, il livre un de ses meilleurs albums au titre qui lui ressemble, avec un regard doux et réaliste sur notre époque. »
[Olivier Nuc]
Le Figaro
« D’une simplicité qui force le respect, mais qui n’oublie pas les mélodies au vestiaire. Le chanteur maîtrise le blanc, le noir, les couleurs, à travers treize ritournelles à vocation minimaliste et au son cristallin, où les rythmes se suivent et ne se ressemblent pas. »
[S.R.]
Rolling Stone
« Enchaînement de biguines et de ballades presque enfantines, à la guitare. C’est l’album d’un homme accompli qui s’achèvera d’ailleurs par un émouvant “Merci” à la vie. Avant cela, le chanteur nous invite à dresser le bilan de nos rêves d’antan, à nous évader de nos prisons, à nous laisser bercer par la douce mélodie de l’amour. Ces chansons-là sont baignées de lumière. À la manière de Souchon, Mathieu Boogaerts démontre qu’il n’est pas nécessaire de s’époumoner pour partager une émotion. »
[Sophie Delassein]
L'Obs
« Drôle d’oiseau, figure à la fois incontournable et marginale de la chanson française, il balade sa voix suave sur ses textes ludiques et poétiques. On l’imaginait lunaire, c’est un bourreau de travail, qui n’en reste pas moins délicieux. »
[Sarah Gaudillot]
Causette
« Septième album champêtre et inspiré de ce voyageur aux yeux ronds, perpétuellement ahuri. Sous ses airs de tombé de la lune, il marie le verbe et le déhanché comme nul autre. »
[Alexis Bernier]
Libération
« On a déjà tout dit du style Boogaerts, de son art des chansons funambulesques, où les orchestrations se présentent dans le dépouillement et le raffinement. Sur sa balance de diamantaire, ou d’alchimiste, chaque son est si savamment pesé qu’il s’envole dans une atmo-
sphère légère, tels les ballons des bords de mer qui échappent aux enfants. Qui d’autre que lui se fait à ce point artiste de l’apesanteur ? »
[Valérie Lehoux]
Télérama
« Une collection de miniatures cyclothymiques : guitares parfois tristes, chœurs narquois, monts amoureux et des merveilles. »
[G.M.]
L'Express